mercredi 29 septembre 2010

Eric Besson veut fabriquer de "bons Français"


Eric Besson ne cache rien de son attachement à sa nouvelle famille politique.
"Le chef de l'Etat, c'est devenu un ami", dit-il.


La suite là bas

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Nationalité française :

Sous le Régime de Vichy

Alibert, ministre de la justice, crée le 22 juillet 1940 une commission de révision des 500 000 naturalisations prononcées depuis 1927. 15 000 personnes, dont 40 % de Juifs, sont déchues de leur nationalité. La loi du 23 juillet 1940 déchoit de leur nationalité tous les Français ayant quitté le territoire national sans l'autorisation du gouvernement. C'est une reprise d'une loi nazie adoptée en Allemagne dès 1933. Elle vise surtout à punir symboliquement ceux qui ont rejoint de Gaulle. En revanche, Vichy met en place un système de dénaturalisation afin de « rectifier les erreurs du passé ».
Deux écoles dominent alors les débats dans les couloirs de Vichy : les « restrictionnistes » et les « racistes ». Entre 1940 et 1944, les débats sont vifs sur ces questions, et le Bureau des Sceaux du ministère de la Justice repousse par exemple le 22 avril 1941 la mise en application du système de tri raciste rappelant que cela ne correspondait en rien à la tradition française en matière d'immigration, mais aussi d'approche de l'individu. En effet, en pleine occupation nazie, le ministère de la justice du gouvernement de Vichy produit un réquisitoire contre la pertinence du modèle raciste. Le Commissariat général aux questions juives qui voit le jour le 29 mars 1941 revient à la charge sur ces thèmes et propose notamment de ne plus naturaliser les étrangers de confession israélite. Le Ministère répond par la négative à ces demandes, et le Commissariat n'insiste pas[réf. souhaitée].
C'est le ministère des Affaires étrangères qui transmet finalement l'ordre au ministère de la Justice de procéder à des aménagements visant à ne pas accorder la nationalité française aux enfants juifs nés en France de parents étrangers. Le ministère de la Justice refuse cette dernière demande mais concède à restreindre les droits à la naturalisation pour les étrangers de la première génération, nés à l'étranger. Mais le ministère de la Justice profite des remaniements ministériels pour faire traîner les choses jusqu'au 15 août 1943, date du vote de la nouvelle loi sur la nationalité. C'est une loi clairement « restrictionniste », mais qui préserve les droits de la deuxième génération, née en France[réf. souhaitée].
Si les Juifs étrangers sont en principe seuls visés par les mesures de contrôle, d'internement ou d'assignation à résidence dans des hôtels ou dans des camps, les différentes lois sur le statut des Juifs excluent les Français considérés comme juifs de la haute fonction publique et de plusieurs professions, notamment l'enseignement, le barreau, la presse, la médecine.
L'abrogation des lois de Vichy se fait au rythme de la reconquête, dès 1943 en Afrique du Nord et en Corse, en 1944 dans l'Hexagone. Le nouveau code de la nationalité est adopté en 1945 et il prévoit notamment que la femme peut désormais transmettre la nationalité française. La naturalisation est réformée : on repasse de trois à cinq ans de résidence minimum avant d'entamer une procédure, mais on facilite les démarches après ce point.


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Bésitos à toutes et tous



Eric Bloggeur Mulhousien







PS : "REPRENONS LE POUVOIR" C'est notre seule chance !

Vas là bas y a du bon à lire :
http://www.ldh-toulon.net/spip.php?article311

http://disparitus.blogspot.com/2010/09/tweet-wikio.html

http://www.bahbycc.com/2010/09/suis-je-une-bonne-petite-francaise.html

1 commentaire:

Unknown a dit…

Balle d’identité
Une déchéance sans échéance …
Qui a dit que la peur a changé de camp ?
C’est comme si les enfants d’immigrés voulaient à tout prix nous faire payer les pots cassés du passé décomposé.
L’un d’entre eux, Malek Boutih parle de contre-culture pour nous signifier que les petits caïds de banlieue n’accepteront jamais la moindre identification. Ils ne se sentent ni immigrés, ni intégrés, ni assimilés… Points de suspension !
En vérité, ils ne partagent avec nous, pas le moindre sentiment… c’est le ressentiment qui les caractérise ou les stigmatise.
Déni de culture. Non ! ce serait plutôt la culture du déni : déni de nos valeurs, de nos institutions et de notre mode de fonctionnement. A tort ou à raison
C’est toujours non… même pour dire oui.
Est-ce un délit ? Est-ce un crime ?
De voir des jeunes gens brûler ce qu’ils sont censés adorer ? Et de haïr le sol sur lequel ils sont nés ? Nous y sommes peut-être pour quelque chose ? Un peu… beaucoup… malheureusement.
Et s’ils ne sont pas contents d’être français, c’est peut-être parce que nous n’avons pas encore trouvé les mots pour leur parler.
Le seul qu’il faudrait commencer par éliminer : c’est l’identité. Sinon nous ne leur ferons jamais avaler le miel ou le fiel de la citoyenneté.

http://www.tueursnet.com/index.php?journal=Balle%20de%20Identite